Tandis que le Japon se félicite de pouvoir inscrire 23 sites industriels, témoins de sa révolution industrielle de la fin du XIXe siècle, les Sud-Coréens s’insurgent contre cette éventualité. Ils rappellent notamment que certains de ces lieux ont servi à exploiter une main-d’œuvre forcée. Décidément les questions d’histoire n’en finissent pas d’empoisonner les relations entre Séoul et Tôkyô.