Avec un produit intérieur brut en recul de 0,4% d’avril à juin par rapport au trimestre précédent, une consommation des ménages qui fléchit de 0,8%, et des exportations de 4,4% inférieures à celles du premier trimestre, le spectre d’une nouvelle récession inquiète les autorités. Un revers pour Abe Shinzô, qui mise sur une politique de relance pour redynamiser un tissu économique en panne.