Le Japon ne cache pas son mécontentement après l’inscription de documents relatifs au massacre de Nankin sur le Registre de la mémoire du monde de l’Unesco. La décision a été prise lors d’une réunion d’un comité consultatif international de l’Unesco, chargé d’examiner des propositions d’inscription au patrimoine documentaire de l’humanité émanant de 40 pays.