La plupart des grandes entreprises japonaises ont offert à leurs salariés leur plus faible augmentation salariale en quatre ans. Un coup dur pour le Premier ministre Abe qui comptait sur un coup de pouce salarial pour relancer la consommation des ménages. Toyota, qui sert souvent de référence pour le secteur privé, a proposé une hausse du salaire mensuel de 1 300 yens (11€) contre 1 500 yens l’an passé. Les syndicats voulaient le double.