
Les blessures liées à la catastrophe restent vives. Il faut les soigner pour tourner la page. Nous avons pris un taxi sous la pluie dans la ville d’Ishinomaki. Le chauffeur a marmonné : “Ici, de la pluie, on n’en veut plus”. D’après lui, après le séisme, les terrains se sont affaissés de 1,2 ...