Considéré comme l’un des meilleurs photographes du monde, l’artiste est en France pour une exposition exceptionnelle. A première vue, le portrait photographique n’a rien de compliqué. Mais pour arriver à un résultat satisfaisant, cela demande beaucoup de patience et de discipline. Depuis plus de 20 ans, Kikai Hirô se concentre sur cette forme d’expression. Il a pris en photo des centaines d’inconnus qui passaient le long du mur d’un temple à Tôkyô où le photographe aime se tenir. Cette approche ascétique a été récompensée puisqu’il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs portraitistes de la planète. Zoom Japon l’a rencontré dans…
Auteur/autrice : Rédaction
Pas toujours autorisés à posséder chez eux un animal de compagnie, les Japonais ont trouvé la bonne parade. Parmi les mauvais côtés de la vie urbaine moderne dans des villes comme Tôkyô et Ôsaka figurent un sens aigu de l’aliénation et de l’isolement. Dans un pays où un nombre croissant de personnes décide de ne pas se marier, de ne pas avoir d’enfants, les célibataires et les couples choisissent de consacrer leur temps, leur énergie et leur argent aux animaux de compagnie. Mais que faire quand les bêtes ne sont pas autorisées ? Dans la plupart des appartements de location,…
Préparation : 1 – Enlever le calice de l’ume. 2 – Bien laver avant d’essuyer. 3 – Mettre les prunes dans un bocal pasteurisé avec le sucre candi et l’alcool blanc. 4 – Laisser reposer à l’abri pendant 1 an. 5 – Enlever les prunes puis transférer dans un bocal. 6 – Servir bien frais, avec des glaçons ou mélanger avec du tonic. Astuce : Vous pouvez remplacer la prune par de l’abricot. C’est aussi bon ! Ingrédients : 1kg d’ume (prune japonaise) 800 g de sucre candi 1l d’alcool blanc
Le secret de la gastronomie japonaise se trouve souvent dans ses traditions. Les prunes ume en font partie. S’il existe des aliments qui vous préservent de toutes les maladies, cela ne vous donne-t-il pas envie de les avoir chez vous ? Au Japon, traditionnellement il s’agit de produits à base de prunes, ume. C’est un fruit à noyaux, comme les abricots, importé de Chine avant l’époque de Nara (710-794). Naturellement acide et toxique, il est immangeable cru, mais une fois préparé, en boisson ou mariné, son composant principal, l’acide citrique, permet de lutter contre la fatigue, mais aussi de combattre…
Touchée comme d’autres secteurs, l’ostréiculture à Ishinomaki renaît de ses cendres grâce au soutien des Charentais. La ville de Royan se trouve dans le département de Charente-Maritime et compte 17 100 habitants. C’est une ville touristique internationale, située à 100 km au nord de Bordeaux réputée pour ses vins. Pendant la période des vacances, on y enregistre plus de 100 000 visiteurs avec leur bateau de croisière. Les huîtres du bassin Marennes-Oléron sont réputées et exportées partout en Europe. L’ostréiculture remonte à l’époque romaine. Dans la région de Royan elle s’est développée dans le courant du XIXe siècle, lorsqu’on a transformé les…
Le ministère de l’Education a adressé une lettre à 26 établissements universitaires pour leur demander “d’abolir ou de convertir les départements de sciences humaines et sociales pour favoriser des disciplines qui servent mieux la société », notamment l’ingénierie, les sciences dures et les sciences naturelles. Les sciences humaines et sociales sont donc jugées “inutiles”, pas assez productives pour l’économie. Polémique garantie.
Le wagyû ou bœuf japonais a une particularité que les viandes bovines d’Europe ou d’Amérique n’ont pas : le fondant. Une caractéristique qui lui vaut de séduire de nombreux amateurs malgré son coût souvent prohibitif. En France, wagyû est synonyme de bœuf de Kôbe. Pourtant, à l’instar des différentes qualités de viande française (charolaise, limousine ou encore blonde d’Aquitaine), il existe au Japon des différences notables de goût entre les viandes selon leur région d’origine même si elles conservent le fondant si particulier. Pour découvrir ces particularités gustatives, deux préfectures japonaises, Gifu et Gunma, se sont associées pour proposer au public…
Pour l’ouverture de la saison 2015-2016, Rendez-vous avec le Japon vous propose en avant-première le nouveau film de Kore-Eda Hirokazu, Notre petite sœur, le 20 octobre à 20 h au cinéma La Pagode. Le réalisateur de Tel père, tel fils sera présent et participera à une discussion autour de sa dernière œuvre. Cinéma La Pagode, 57 bis rue de Babylone, 75007 Paris www.rendezvousaveclejapon.fr
Perdue au milieu de la mer Intérieure, la petite île attire des touristes amateurs de chats. Mais les habitants font la grimace. Quand le bateau, qui relie l’île d’Aoshima à celle de Shikoku, dans l’ouest de l’archipel, s’apprête à accoster dans le petit port, les cris “Regarde, comment ils sont mignons ces chats !” rompent brutalement le silence qui a régné pendant le court trajet maritime d’une demi-heure. Un escadron de félins bruns et roux, dès qu’ils aperçoivent l’arrivée des touristes, prennent possession du brise-lames pour observer le navire qui approche. Oui, ils savent que ces citadins, qui viennent souvent d’Ôsaka…