
“Depuis Still Walking (Aruitemo aruitemo, 2009) et jusqu’à Après la tempête (Umi yori mo mada fukaku, 2016), je m’étais attaché à restreindre le périmètre d’observation des sujets que je traitais dans mes films. Il s’agissait plutôt de thématiques proches du journalisme. J’étais plutôt dans la sphère...