
P. H. : Bref, toi tu es parti du shônen et tu voudrais aller voir ailleurs, et moi, je considère le shônen comme une sorte d’horizon inatteignable. On a l’air fin, maintenant… T. D. : Oui, enfin, surtout toi, parce que je travaille aussi sur des titres plus confidentiels en parallèle de mes traductions...