
Pourquoi avez-vous choisi Hokkaidô comme cadre ? M. Y. : Ayant subi le harcèlement sexuel quand j’étais enfant et plus tard le séisme de Kôbe, je voulais créer en l’espace d’un film de deux heures, une sorte d’endroit parfait, un environnement idéal où les gens pourraient rêver et oublier leurs...