
Votre ouvrage porte sur le cinéma des années 1960. Ce choix est-il seulement lié à votre intérêt pour Yoshida ? M. C. : Je me suis rapidement rendu compte que si je voulais qu’on s’intéresse à Yoshida et qu’on le reconnaisse, car au fond je souhaitais qu’on arrête de toujours parler d’Ôshima Nagisa,...
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