
Araki Masahiro parle aujourd’hui d’une “mission” (shimei) du journal à l’égard d’une population que l’on était prêt à oublier. “On ne pouvait pas tourner la page aussi facilement. Et d’ailleurs, l’affaire n’est toujours pas complètement réglée”, explique-t-il. L’actuel directeur de la rédaction sait...