
Imada Miho a plongé, quant à elle, dans l’univers du saké de Hiroshima à l’âge de 33 ans et essaie d’avancer et d’apprendre. Elle dit s’être sentie pour la première fois vraiment professionnelle sept ou huit ans plus tard, lorsque le tôji qui venait travailler depuis toujours a pris sa retraite et...